Chambre 201 [Korus Ascaf & Ryô Bakura]

[Bureau de renseignement]

Korus avait suivit la carte impéccablement, il n'eu pas à faire de demi tour. Enfin, après avoir monté une multitude d'étages, il arriva à l'entré du couloir donnant sur les chambres. Il plia la carte et la rangea dans la poche droite de sa veste. Il parcoura donc l'allé, apparement, peu de chambres étaient occupées, peut être même aucune pour le moment. Enfin il arriva devant sa chambre, celle avec le numero 201.

Il commença à prendre sa carte d'accés, mais il se ravisa, après tout son pouvoir lui permettait de faire voler les cartes, alors pourquoi pas celle-ci ? Mais il eu beau se concentré, la carte ne bougea pas. Il ne s'était jamais demander pourquoi seul les carte étaient l'objet de son don, les carte de jeu. Il se resigna donc à entrer comme le ferai Mr n'importe qui.
La porte s'ouvrit, laissant passer un peu de lumière dans les ténèbres de son habitation. Il trouva un interrupteur juste à sa droite, il alluma donc la lumière.

La pièce, maintenant baigner dans la lumière fesait apparaitre sa simpliciter. Une moquette bleu, deux lits de parte et d'autre de la piece, coter fenêtre. A coter de chaque lit, un petite table de nuit en bois de chène apparement, un reveil sur cette table. Dans le coin gauche, coter porte, on pouvait trouver la salle de bain, mais pas de douche, un lavabo et une toilette, le plus que minimum pour Korus, à si il y avait un grand mirroir.
Il avança vers la fenètre et ouvrit les rideaux, les derniers rayons du soleil donnait une coleur rosée au ciel. Le jeune homme resta un moment à admirer le ciel car pour lui, la vrai magie n'était que le fruit de mère nature. Enfin il se coucha sur ses draps, bleu, la porte se referma automatiquement. Il se remit à se parler tout seul.

"Alors récapitulons, Katherina, sa risque d'être dur de l'attendrir, mais vivre dans ce mirroir ne doit pas être facil aussi. Hélène, c'est presque trop simple de la faire craquer, mais elle a encore la capaciter de rêver. La plus jeunes Hanabi, faudrait presque que je séduise un homme. Mais j'ai une ouverture. La petite aux oreilles de chat, c'est encore une enfant, ça ne devrai pas être dur de la faire rêver."

Il réfléchi un instant, se demandant comme une fille si jeunes pouvait se retrouver mélée à un tel conflit. Comment peut-on laisser des enfants de son âge voir de tel horreur, mais surtout, comment pouvait-on les pousser à commetre l'irréversible.

"Enfin il reste les deux autres, apparement, je leurs suis indifférent, il faudra que je les voie seul à seul. Peut être seront-elle plus enclinte à bavarder."

Il s'était déjà bien amuser, bien amuser mais n'avait pas tellement d'amis aussi. A part Hélène à la limite. D'habitude, il ne passait que rarement la nuit seul, mais là, dans cette école, cela allait être différent. Et s'il mourrait durant le conflit, qui irait sur sa tombe ? Non il ne devait pas mourir, pas avant d'avoir touché un nombre non négligeable de femmes.

Korus ne trouvait pas le sommeil, cette nuit ressemblait à celles qu'il passait dans sa maison, si grande pour un être seul, d'interminable couloir donnaient sur un bon nombres de pièces dont beaucoups étaient inutilisé. Le silence le troublait, aucun souffle chaud sur sa peau, aucun doux parfum ne venait titiller ses narine.

Il se rassit, le regard dans le vide, il ne pouvait dormir ainsi. S'il allait trouver Hélène, la nuit pourrait mieux se terminer. Non, il ne devait pas y restourner dés maintenant. Katherina, non elle devait être encore en colère. Il se leva et regarda par la fenètre, Hanabi, la fille timide, et un vielle homme qu'il n'avait jamais vu. Pourtant, malgré son âge, il semblait avoir du succès, Hanabi s'était jeté dans ses bras. L'instinct de Korus se reveilla, un nouveau rival, mais ce n'était pas le moment d'intervenir.

Il finit par décider de déambuler, au gré de ses envies, d'admirer la nature paisible.

{Amphithéâtre]

[lac]

Margot commencait a etre sérieusement fatiguée. de sa main libre, tandis que de l'autre elle tenait Korus, elle cacha un baillement qui faillit lui décrocher la machoire. Ses oreilles étaient basses et presque aplati, montrant un signe d'endormissement sur le point de la surprendre. Mais elle luttait contre le sommeil et les bras que Morphée lui tendait. Ses paupières étaient lourdes et elle s'imaginait rouler en boule ronronnant dans une couverture chaude.
Elle crispa ses doigts fins sur la main de Korus, comme pour se rapeller a la réalité. La peau du jeune homme était douce et lisse. Il devait certainement en prendre grand soin. Mais ce devait etre normale pour un magicien dont les mains devaient etre impeccables et dont c'était presque l'outil de travail...

Margot faillit ne pas s'arreter et fonca dans la porte... qui resta fermée.

"Oups. Je n'ai pas la clef, suis-je bete... "

[Lac]

Korus avait été guidé à bon port par Margot, il avait remarquer quelque leger signe de faiblissement. Il était vrai qu'il se fesait vraiment tard, même le jeune homme qui avait l'habitude de veiller commençait à sentir les premiers effet de cette drogue qu'est le sommeil.

Quand Margot se heurta à sa porte, il se précipita dérrière pour le soutenir. Mais il s'était inquiété pour rien. Il eu un petit regard amusé et posa sa main gauche sur le front de la nékanthrope.

"Attention voyons, ce serais dommage d'abimer un si beau visage."

De son autre main, il sortit sa carte et ouvrit a porte. Il trouva à taton la lumière pour y voir plus claire. Korus n'avait pas ranger ses affaires, elle était encore dans son petit sac sur son lit. La fenètre était ouverte, la température de la piece avait bien chuter depuis son dernier passage.

Il passa l'encadrement de la porte et entraina Margot à sa suite, prétextant qu'il voulait regarder de plus près son front, on n'est jamais trop prudent. Il l'invita donc s'assoir sur son lit, tanis qu'il rangeait ses affaire, un autre smoking, des gants blancs, une paire de baskets, un jean, un tshirt et une cape noir. Mais il ne rangea pas la cape dans la grande amoire, il la passa autour de Margot.

"Je te conseille de garder sa pour le moment, il ne fait pas très chaud."

Puis il s'avança vers la fenêtre, après un dernier regard sur Dame nature, il la ferma, les rideaux avec. Puis il revint sur son sac, il ne restait plus grand chose dedans, mais Korus avait pris assez de précautions pour ne pas qu'on voit ce qu'il contenait. Seul ses carte sortirent de son sac et allèrent se ranger sur sa table de nuit, 5 paquets neuf au total.

Puis il retira sa chemise, sa cravatte qu'il posa ur un cintre dans son armoire et la fermit, il s'agenouilla face à Margont, effleurant son frond de ses doigts.

"Il n'y aura pas de bosse, je ne pense pas. Bon il est temps de dormir. Sa va aller pour retourner dans ta chambre ?"

Korus aurait préféré lui proposer de rester, mais c'était un peu trop rapide, il avait déjà eu une bonne approche pour ce soir. Une petite bataille de gagné, une longue guerre s'anonçait. Il imaginait déjà les plans de conquète, et les ripostes, dont celles qu'il craignait le plus était la ripose exterieur d'Hanabi...

La jeune Margot se trouva entrainer dans la chambre. De toute facon, elle avancait a peu pret comme un zombie a l'heure qu'il était... Elle eut une pensée pour Hannabi qui allait certainement s'inquiéter. Tant pis, elle lui expliquerait, elle avait son indépendance tout de meme. En meme temps, elle tenait de chat, donc c'était logique... Bref, a vrai dire, Margot n'y réfléchit pas bien longtemps.

Assise sur un lit douillet, enveloppé d'une cape chaude, avait eu raison de sa résistance. Elle n'entendit meme pas Korus ranger sa chambre ou se changer. Elle dormait deja profondément rouler en boule dans un coin du lit, dans la cape. Lorsqu'il s'agenouilla face a margot et lui parlant en pensant qu'elle était réveillée, il s'apercut alors qu'elle n'était plus assise dans le lit, et qu'il parlait un peu dans le vent ^^' .

Ses reves étaient peuplés de ses activités riches d'aujourd'hui, de sa nouvelle arrivée dans l'académie, des premiers amis qu'elle s'y étaient faites. Son visage était apaisé, so esprit a vagabonder a cent milles lieux de la.

Korus n'avait eu pour toute réponse qu'un long soupire, il fut amusé de voir la jeune nékanthrope qui avait succomber au sommeil. Il se releva et observa un instant Margot, elle semblait heureuse. Le sommeil avait fait apparaitre un leger sourir sur son visage. Mais il ne pouvait plus utiliser son lit maintenant, il regarda un instant l'autre lit de l'autre coter de la pièce, mais oublia rapidement cette idée. Il alluma sa lampe de chevet et éteigna la lumière général de sa chambre.
Il s'asseya contre son lit, attraper son oreiller pour caller sa tête. Il sentait le souffle de Margot sur sa nuque, cela lui suffisait pour être apaiser, ainsi il ferma sa lumière. Mais avant de succomber à l'apelle de douce rêverie, il tourna la tête vers Margot, sans la voir. Elle devait encore dormir.

"Bonne nuit."

Puis le sommeil le rattrapa très vite, il allait faire sa nuit d'une traite...

Les premiers raons du soleil commençait a percer a travers le fenetre de la chambre de Korus. Margot semblait avoir oublier ou elle avait passer la nuit, car, sans s'inquiéter, et se croyant seule, elle commenca a s'étirer longuement, se tournant dans le lit. Elle serrait contre l'oreiller pour garder le maximum de chaleur et se mettait parfois a ronronner, en fonction des pensées qui traversait son esprit.
Enfin elle ouvrit les yeux, mais encore embrouillée, ne percut pas le jeune homme au pied du lit. de plus elle avait passer tellement peu de temps dans sa propre chambre qu'elle ne remarqua pas vraiment la différence avec celle-ci.

"HMMmmmmmpfffff" fit-elle en étirant ses muscles endormis, félinement.

"Tiens j'ai dormi avec mes vetements d'hier?"

La jeune nékotrope s'asseya dans le lit, en tailleur, et se tenait les pieds avec ses mains. Ses esprits reprenaient leur place. Aussi elle attendit calmement et silencieusement que Korus s'éveille a son tour.

Le jeune mis plus lontemps à s'éveiller, une demi heure plus tard les premiers signe de retour parmi les éveillés étaient visibles. Il ouvra doucement les yeux et tourna doucement la tête vers son lit. Margot était encore là, assise là ou il aurait du passer la nuit. Apparement elle l'attendait. Il raligna sa colonne vertébrale, cette position était fort inconfortable et il sentit des douleur dans sa nuque. Mais il n'en parla pas, il s'étira les bras et se leva.

"Tu me pardonneras, mais tu dormais si bien hier que je n'ai pas osé te réveiller."

Ce n'était qu'à moitier vrai, il n'avait pas oser la réveiller certe, mais pas pour les raisons qu'il avait mentionner. Il ne voulait pas rester seul. Korus se dirigea vers son armoire et sortit des affaires pour se changer. Il prit son sac et se dirigea vers la salle de bain.

"Je reviens dans une minutte."

Il entra dans la petite salle, se lava rapidement le vasage, et toute les partie qui devait absolumment être lavées. Il y avait bien les douches mais le jeune homme n'avait pas envie d'y aller aux heures trop fréquentées. Il se recoiffa impéccablement, vérifia son visage, rien de remarquable. Enfin il se rhabilla, un smoking identique à celui qu'il avait auparavent. Et ressortit enfin de la petite pièce.

"Si tu veux tu peu te rafraichir ici, j'ai tout ce qu'il te faut."

Il alla récupéré sa montre, les cours allaient bientôt commencer.

Margot détourna le regard lorsqu'il se promena a demi-dénudé dans sa chambre. Elle ne put s'empecher de rougir, éclat vif qui allait si bien avec ses grands yeux écarlates. Mais elle se trouva idiote, après tout il était dans sa chambre. Son regard se fixa alors sur le dessus du drap, ou elle s'obligea a compter méthodiquement chaque motif.
Lorsqu'il fut rhabillé, elle lui tendit enfin un sourire en le regardant droit dans les yeux. En quelques secondes elle fut sur ses pieds, dans ses vetements vifs froissés. Elle se frotta la joue ou subsistait encore les traits de son sommeil.

"Je vais retourner dans ma chambre, Hannabi doit etre trèèèèèèès inquiète je pense. Et puis je te rejoins dans l'amphithéatre... En tout cas, ton lit est très confortable!"

Korus avait vu Margot détourner son regard, cela l'amusa. Après tout il n'y avait rien de génant, elle pouvait parfaitement se rincer l'oeuil si elle le désirait. Le jeune homme prenait soin de son corps pour lui, mais aussi pour le plaisir des femmes. Il ne pouvait pas priver ses proies d'un de leur plaisir naturel.

Il réajusta sa cravatte devant un mirroir. A ce moment, Margot annonça sa retraitre. Ce fut comme un électrochoc, mais s'était inévitable, leurs moments passer ensemble ne serait qu'éphémère, comme la vie, comme l'amour.

Il se tourna vers Margot, s'avança lentement et se pencha sur son visage. La fixant d'un regard examinateur, il plongea sa ma gauche dans l'une de ses poches et en sortit un peigne.

"Tu ne peu pas sortir comme sa."

Il s'appliqua donc à remettre les cheveux de Margot en place, ses gestes étaient doux, délicats et pratiquement professionnels. Une fois son travail fini, il recula de quelques pas, examinant son travail, c'était très bien fait finnallement.

"Voila, tu es la plus belle maintenant, bien sur je ne dis pas que le style viens de se reveiller ne te va pas. Bon il est temps d'y aller."

Il s'avança vers la porte et l'ouvrit en grand, après avoir inviter Margot à sortir il prit le chemin des cours.

[Amphithéatre]

Margot qui avait sauté sur ses jambes souples ét déliées, se réceptionna a quelques pas du jeune homme très élégant. Sa tenue plutot stricte lui donnait de l'allure, mais surtout le rendait plus vieux de quelques années encore, par son sérieux et sa rigueur...
Il vint se poster face a elle, et alors qu'elle pensait avec amusement qu'il allait sortir une carte ou un tour de magie. Aussi qu'elle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle vit un peigne, un tout petit peigne noir, luisant dans sa grande main.

"Oh. C'est gentil." fit-elle en penchant légèrement la tete, passant ses doigts fins dans la masse de ses cheveux défaits, dévoilant une petite oreille pointue couleur de neige.
Margot se laissa faire sous les gestes professionnels de Korus. Il était doux et précis. Le contact du peigne habilement utilisé lui procura quelques frissons qui parcourirent l'échine de la jeune féline, et lui arracha quelques ronronnements de bien-etre. Lorsqu'elle fut enfin présentable aux yeux de Korus, il la délivra de son emprise et l'invita a quitter sa chambre.

"Merci Korus" fit-elle tout en l'embrassant sur la joue, se levant sur la pointe des pieds pour l'atteindre, spontanément et pleine de fraicheur. Puis elle quitta la pièce en sautillant, joyeuse, a travers les couloirs...

[chambre de margot et hannabi]

[Bureau des Renseignements]

Ryô sortit du bureau des renseignements avec en main un plan détaillé de l’école et une clé magnétique qui lui permettrait d’ouvrir la chambre qu’il partagerait avec un garçon à la Tour Septentrionale. Celle-ci, comme son nom l’indiquait se trouvait au nord de l’Académie. D’après les annotations que l’exorciste put lire sur la carte, ce bâtiment servait de dortoir à tous les étudiants, la Tour Méridionale qui lui faisait face, accueillait quant à elle les filles. Il visualisa d’un regard bref l’endroit où il se situait. Depuis tout petit déjà, il se sentait perdu sans repères visuels. Une fois, tandis qu’il rêvassait il avait simplement fait quelques pas de trop et il se retrouvait complètement désorienté. Il s’était mis à pleurer jusqu’à que sa mère entende ses cris et vienne le ramener à la maison. Depuis, il essayait à chaque endroit encore inconnu d’imprimer dans son esprit tout ce qui pouvait l’aider à se rappeler.

Arrrivé enfin au pied de l’imposant bâtiment, il avala bruyamment sa salive. Lui qui détestait l’effort physique n’avait aucune envie de monter tout en haut à pied. C’est pourquoi, il bénit le ciel en apercevant un ascenseur au fond du hall d’entrée. Il avait l’air assez neuf et se dit qu’il venait certainement d’être rajouté à la tour. Il remercia encore sa mère de ne pas l’avoir inscrit plus tôt à cette Académie. Il appuya sur un épais bouton vert et attendit que les portes s’ouvrent. Quand la sonnerie retentit, Ryô pénétra dans la cabine d’acier. Il en ressortit quelques instants plus tard, le cœur battant à l’idée de partager sa chambre avec un camarade. Il longea le couloir tapissé de motifs en forme de vagues, et aperçut même quelques fois un groupe de sirènes adossés à un rocher en train de sourire.

Enfin, il trouva une porte en métal, où avait été ajouté dessus le nombre 201. Sans hésitation, le garçon passa sa carte dans le petit boîtier électronique adjacent. Un bip court se fit entendre, et la porte s’ouvrit. Visiblement, quelqu’un avait oublié d’éteindre la lumière. Ce n’était pas vraiment nécessaire vu que le soleil illuminait suffisamment la pièce et il éteignit donc l’interrupteur. La chambre était assez spacieuse, bien qu’elle manquait un peu de couleurs. Sur l’un des lits une valise avait été ouverte. Apparemment, son colocataire était déjà arrivé, Ryô se demandait bien à quoi il pouvait bien ressembler. En jetant un œil à la valise ouverte, il remarqua qu’elle contenait presque que des costumes et des chemises.



* Un dandy ? C’est bien ma veine … J’espère qu’il sera gentil. *

L’habitant d’Enaris, sachant qu’il devait se rendre en cours le plus vite possible, ne prit pas la peine de se demander où se trouvaient les douches et se contenta de se rincer les bras et le visage avec d l’eau de l’évier qui avait été mis à leur disposition. Voyant que ses vêtements le gênaient, il les retira en faisant attention à ne pas faire trop bouger l’Anneau ni son pendentif d’adepte de la Lumière. Vêtu de sa parure d’Adam moins la feuille de vigne, Ryô entreprit de nettoyer les vilaines tâches de sang qui maculaient ses bras et une partie de son visage d’enfant. Une fois cela terminé, il se saisit de sa propre valise qui avait été rangée sous le lit opposé et l’ouvrit. Il y extirpa des sous-vêtements propres, une paires de chaussettes, un jean bleu à peine déchiré, et son t-shirt fétiche à rayures. Une fois habillé, il referma la porte derrière lui en oubliant malencontreusement, la carte et surtout la carte magnétique. Mais sur le moment, il n’y fit pas attention.

[Amphithéâtre Odin]

[Bureau de renseignement]

Korus revenait enfin dans sa chambre, un leu ou il était quasi sûr d'être seul pour confier. Il avait déjà vécu tant d'aventures, tant de conquêtes. Sa vie n'avait jamais été aussi passionnante. Cette école l'amusait beaucoup, enfin certain point l'amusait.

Il ouvrit la porte et la ferma soigneusement derrière lui, il enleva sa veste et sa cravate avant de s'étaler dans son lit. Dire qu'il avait failli mourir, c'était peut être un peu exagère mais lui le ressentait tout comme. Il fixa son regard sur le plafond.

"Ho mère, veilles sur moi, ne me laisse plus jamais commettre ce genre d'acte. Je dois me préserver, tant qu'on ne me reconnaîtra pas à ma juste valeur. Si tu savais comme j'ai eu peur. Je suis ici pour me battre mais je hais me battre. Comment pourrais-je prendre la vie ? Je sais que je suis du bon coter, mais tout le monde à le droit de vivre. Père aides moi quand le jour sera venue, je suis certain que toi tu ferais le bon choix."

Korus se tue, quel délivrance de pouvoir parler de ce que l'on ressent, c'était reposant et maintenant la magicien partait pour un autre repos, plus physique que spirituel.

Korus se réveilla, combien d'heure s'étaient-elles passer depuis qu'il avait fermé les yeux ? Peu importait. il s'assit sur son lit, la chambre était calme, trop calme. Korus se leva, il était seul. Le magicien sentit son corps frissonné, la chaleur humaine lui manquait. Même si la personne ne le touchait pas, il aimait leur présence même si elles ne le touchaient pas. Qu'allait-il faire maintenant ? Il se leva pour se poster devant la glace, il se recoiffa rapidement avant de se changer. Il resta au moins une demi heure devant la glace à retoucher chaque partie de ses vêtement. Quand il fut enfin satisfait il récupère quelque jeux de cartes qu'il plaça dans ses poches. Il ouvrit la fenêtre et regarda un instant l'académie.

"Père, mère veillez sur moi aujourd'hui."

Enfin il sortit de la pièce.

[j'éditerai]