Chambre 317 [Messa Outiko & Ciel Tomoké]

[Centre de Renseignement-Hall]

Messa entra en poussant doucement la porte, elle n'avait pas de bagages alors elle avait put arriver ici plus vite, et son plan l'avait bien aider. Elle referma la porte. La chambre était assez spacieuse, il y avait deux coté, comportant chacun un lit, une étagère et une table de chevet qui était séparés par une longue trainée de tissus accroché au plafond. Biensûr au millieu des deux, il y avait une sorte de petit salon, comportant une cheminé, un canapé et une table basse, une salle de bain était disposer a coté de l'entrée, une grande fenêtre était placer au millieu du salon, comportant un balcon. La chambre avait une atmosphère assez calme, la lumière qui entrait peu a cause des rideaux, figeait la pièce telle une vieille photo. Messa alla prendre un bain et lava sa robe sale, mais elle ne pouvait pas sortir en robe de mariée. Elle trouva dans le placard un vieux uniforme bleu, qui lui allait bien. Elle l'enfila, posa sa robe de mariée sur son lit et se dirigea vers la bibliothèque pour en savoir plus.

[Bibliothèque]

[Jardin]

Messa s'avanca dans la chambre, toujours vide. La lumière n'était plus, et la pièce était seulement éclairer par le couloir. Messa alluma une bougie et la posa sur la table de chevet, elle ouvrit la fenêtre et se posa sur le balcon, d'ici elle pouvait voir le lac, silencieux, calme, et un jeune homme contre un arbre, et un chat, enfin plutôt une nékotrope, et..et...Sa soeur!!! Elle se frotta les yeux, était-ce sa soeur? Elle se mit a crier.

"Iriaaaaaaaaaaaaaaa!!! IRIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!"

La jeune fille tourna la tête a la prononciation de son nom. Les larmes coualit sur ses joues froides et la bougie c'était éteinte, souffler par la brise. Messa sauta par dessus le balcon et atterit tant bien que mal sur ses pieds, elle courut en direction du lac.

[Lac]

Ciel avait suivi les indications de la carte avec assuidité et mis quand meme de longues minutes pour trouver enfin sa chambre. De plus, meme avec l'heure passée a l'infirmerie, elle avait du s'arreter a plusieurs reprises pour reprendre son souffle et attendre que la douleur ne la pli plus en deux de souffrances.

Fébrilement, elle passa la clef pour ouvrir la porte. Elle fut apaisée de voir que sa colocatrice n'était pas dans la chambre. cela lui permettrait d'explorer les lieux sans avoir a discutailler inutilement, juste pour faire bonne figure. C'était coté, un tantinet mystérieux, voire mélancolique. Le salon avait son charme, mais elle passa de l'autre coté d'un rideau qui s'éparait les deux lits, et découvrit un lit defait...

"Bon, et bien je dois etre de l'autre coté."

Elle changea alors de coté, et se jeta sur son lit, sans meme se changer, et s'endormit.


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Ciel dormit d'une traite, sans se réveiller, d'un sommeil bienfaiteur et réparateur. Sa blessure, meme si elle la tiraillait encore, ne la faisait plus autant souffrir. Le jour perca a la fenetre et la réveilla. Premier jour d'école... Les cours avaient intéret a etre interessant et surtout utile, deja qu'elle avait été forcé par l'ancienne gardienne de venir, meme si la jeune fille ne concevait pas qu'un cours puisse etre bénéfique pour son combat.

Elle sauta sur ses pieds et profitant de l'absence de sa colocataire, se lava au lavabo a proximité avant de passer un petit débardeur de type marcel, comme les militaires. Puis elle partit en direction des amphithéatres.

[amphi]

[Lac]



La jeune fille fit entrer sa soeur la première, et puis elle entra a son tour. Elle était vraiment hereuse. Elle avait tellement de question a poser a sa soeur, et en même temp, elle voulait prendre son temp, après tout, sa soeur n'allait pas s'en aller comme ca...non...ce n'était pas possible, sa soeur resterait la, comme elles l'ont toutes les deux révées. Elle sortit de ses pensées et regarda sa soeur, qui elle, c'était poser sur le lit, profitant du calme, froid et dur, de la chambre. Elle s'assit près d'elle, et lui demanda.

"Tu reste n'est-ce pas? Tu ne repartirat plus, plus jamais..."

Sa voix était calme, et chalereuse. Elle était fluide tel un chuchotement. A sa question, sa soeur Iria tourna sa tête vers la fenêtre, comme si elle fuyait quelquechose.



Iria, regardait droit devant elle, la question de sa soeur l'avait quelque peu troubler, a vrai dire, elle avait beaucoup de choses a lui raconter. Elle ne savait pas par ou commencer. Elle ravala sa salive et prit son courage a deux main, pour regarder sa soeur dans les yeux.

"Messa, hum....tu sais cette vieille usine d'automates, dans un petit village, celle qui appartenait a nôtre mère, qu'elle avait hériter de son père, tu sait bien qu'elle ne s'en est jamais servie. Et bien, je vais reprendre en main cette usine, juste le temp de la faire fonctionner et d'embaucher des personnes pour faire le travail, je saurait de retour bien assez vite, je...."

Elle s'arrêta, elle savait bien qu'essayer de consoler sa soeur ne servirait a rien, têtu comme elle était.

"Tu sait, le testament avait été trafiqué, il se trouve que tout me revenait, tu te rapelle qu'a la mort de grand-père, on c'était demander comment il avait put tout leguer a mère, lui qui la detestait. Eh bien c'est a moi que tout revenait, sauf sa..."

Elle tendit a Messa une petite boîte en bronze, ornée d'écriture ancienne.

"Elle te revient, je ne l'est pas ouverte, je ne sait pas ce qu'elle contient, je sait encore moins si il y a encore quelque chose dedans. Mais tiens..."

A sa grande surprise, Messa sourit. Elle prit la petite boîte et la posa a proximiter.



Messa se leva et s'installa au balcon, elle regardait le ciel, puis elle dit.

"Vas-y, je ne peu t'empecher de faire ce que tu veux, je t'attendrait ici, de toute façon je n'est nul part ou aller, donc..."

Elle sourit et dévoila son visage a sa soeur.

"Je ferait de mon mieux, moi mon rêve c'est d'apprendre la magie, et tu le respecte, donc je respecte le tiens, vas-y, je te laisse..."

Les larmes montait au yeux de Messa, et elle ne pouvait s'empecher de pleurer.

"VAS-Y JE TE DIT, COUR..."

Messa avait peur de regretter son geste, elle se retourna donc et regarda a terre.



Iria sentit qu'il était temp, elle reviendrait le plus vite possible, et elle s'écrirait le reste du temp. Elle arriva dèrrière sa soeur et la serra dans ses bras. Elle dessera son étreinte et recula doucement, puis partit, laissant Messa.



Messa essuya les larmes sur son visage et décida qu'il était temp de se reprendre en main, malgré sa tristesse, elle savait qu'elle reviendrait très vite. Elle se lava le visage et enfila une fine chemise en lin, puis alla se coucher, il pouvait faire nuit, jour, tempête ou soleil, elle s'en foutait, elle voulait simplement dormir.

(Aïe, double poste ^^!!!)

La jeune fille se réveilla en sursaut a cauqe d'un mauvais rêve. Messa parcourut la pièce du regard, elle se dit qu'il serait peut-être temp de faire quelquechose au lieu d'errer comme un fantôme dans l'Académie. Mais...Les cours!!! Ils avait surement déja commencer, elle s'affolat et dans la précipitation prit une sacoche noir et la remplit de livre, de cahier, de crayon, de tout se qui lui tombait sous la main. Elle ésperit ne pas être trop en retard, et surtout de na pas recevoir les foudres du professeur. Qu'elle pouvait être bête, si elle était venut ici c'était essentiellement pour étudier, et voila qu'elle ratait les cours. Elle enfila un short noir, un haut blanc, et des bottes de cuir noir, qui, elle le pensait, serait plus apte qu'un vieille uniforme pour courire. De toute façon elle n'avait que sa sous la main, c'est fous ce que les gens peuvent laisser dans les chambres au fil des années, c'est a se demander si il l'avait nettoyer avant leurs arriver. Elle ne s'attarda pas sur la question et courut le plus vite possible que son faible petit corp lui permettait.

[Amphithéatre]

[hangar]


Une silhouette poussiéreuse et gluante a la fois se faufila jusqu'a la porte d'une chambre. L'ouvrant à la volée, elle entra dans ce qui lui servait de chambre.

Ciel jetta un oeil circulaire à la pièce vide. Ses affaires n'avaient pas bouger depuis une éternité. Et sa voisine ne semblait pas non plus vivre souvent dans ce lieu. Elle haussa les épaules. Moins elle l'a verra mieux ce serait...

Elle se déshabilla sans pudeur au centre de la pièce, quittant ses vetements sales et se dirigea vers la salle d'eau.
Elle fit couler une eau glacée sur sa peau nue, ses cheveux satinés. La chaire de poule lui rapellait combien elle était vivante. Ses doigts fins parcoururent son corps, à la recherche d'aspérités de ces cicatrices, se remémorant indéfiniment chaque contexte qui les illustrait.
Lorsque le gros de la poussière fuya par le siphon, elle se savonna enfin, et se rinça toujours à l'eau froide.

Enfin elle sortit, se sécha et regagna son lit. une petite sieste ne lui ferait pas de mal.